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Plon, 1996
Plon, 2002 pour la présente édition
  Ce roman est le dernier de la série de quatre publiés dans le volume. Il est conçu comme un conte, des génies du bien et du mal y apparaissent, des revenants repentants qu'il faut consoler, absoudre, auxquels on apporte la paix grâce à un vrai message sur papier... 
  Il faut dire que comme bijou maléfique, le rubis, dernier maillon manquant pour que les douze tribus d'Israël soient représentées sur le pectoral du Grand Prêtre que cherche à reconstituer Simon Aronov, fait fort.
  Il est "responsable" d'une série d'atrocités commises en son nom depuis qu'il fut volé par les romains de Titus, lors du pillage de la Ville Sainte.
  Quatre couleurs: celles du saphir, du diamant, de l'opale et du rubis. Quatre villes: Varsovie, Londres, Salsbourg, Prague. Et bien sûr Paris, Venise, Vienne, Jérusalem d'où est sorti le collier sacré et où il doit retourner pour que les fils d'Israël retrouvent une terre. Dans ce quatrième récit les femmes sont tout aussi venimeuses et fatales que dans les trois premiers. Avec une apothéose, une presque fin, un début d'éternité. Il est pratique de tuer des personnages encombrants même s'il faut leur adjoindre des héros.
  Bref,  angoisse et frissons garantis.   
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